3. Dans un cas de force majeure, par exemple celui qui doit [absolument] se trouver au moment précis de la sortie du Chabat à la limite du Te’houm [= la surface rectangulaire entourant la ville, et au-delà de laquelle il est interdit de se rendre pendant le Chabat. Dans la configuration normalisée, chaque côté correspond à l’étendue maximale de la ville parallèlement à ce côté, augmentée d’environ 2070 amot de part et d’autre.] pour aller accomplir une mitsvah, dans un tel cas, on pourra faire ’Arvit de Samedi soir à partir du pelag hamin’hah [= 10,75 heures saisonnières, en considérant que la journée commence au lever du soleil et se termine à son coucher] puis enchaîner avec la Havdalah, mais sans la bénédiction sur la bougie ; il sera de même interdit d’accomplir tout travail illicite avant la sortie des étoiles. On a l’habitude [chaque Samedi soir] de prolonger la mélodie pour Vehou Ra’houm et Barekhou [d’avant le Chema’]¹.